Site officiel de la MAIRIE DE MENIL ERREUX, commune de l'Orne située à 12 km d'Alençon, près de l'autoroute A

Le bien-être à Ménil-Erreux

C. Laigneau

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A vos agendas

Cette rubrique vous est proposée dans notre blog de Ménil-Erreux pour ne pas oublier les dates des événements et manifestations de notre commune Hirouldaine. Elle sera mise à jour dès connaissance d'une date nous concernant.

Nous l'avons nommée  "A VOS AGENDAS". 

- 13 décembre 2023 à 18h30, réunion du conseil municipal à la mairie,

- 22 décembre 2023 dans la journée, balayage mécanique du bourg de Ménil-Erreux.

Nous vous invitons également à vous inscrire sur notre blog "Patrimoine Ménil-Erreux" et, vous serez informés des événements et manifestations de notre association de sauvegarde de notre patrimoine Hirouldain.

C. Laigneau

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10 décembre 2023

Lancement de la plateforme Mission Transition Écologique pour les TPE-PME

 

Lancement de la plateforme Mission Transition Écologique pour les TPE-PME

Les ministres Christophe Béchu, Agnès Pannier-Runacher et Olivia Grégoire, lancent la plateforme « Mission Transition Écologique » à destination des TPE-PME, à Bercy, ce mercredi 29 novembre.

Retrouver la vidéo de l’événement :

 

lancement de la plateforme Mission Transition Ecologique pour les TPE-PME

Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires et Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des Petites et moyennes entreprises, du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme, lancent la plateforme " Mission Transition Écologique " à destination des TPE-PME.

https://video.finances.gouv.fr

 

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Alors que l'on compte aujourd'hui 340 aides à la transition écologique proposées aux entreprises par l’État et ses principaux opérateurs, il est difficile pour les chefs d’entreprise, notamment les plus petites, d'y accéder.

Pour simplifier leurs démarches, leur permettre de trouver les aides les plus adéquates à leur situation et lutter contre le non-recours à ces aides, les ministres présentent la nouvelle plateforme qui aiguillera plus facilement les dirigeants de TPE-PME et les accompagnera dans leur transition écologique.

Une plateforme unique pour accompagner les PME et TPE dans leur transition écologique

 

Cette plateforme numérique a plusieurs objectifs :

  • augmenter le nombre d'entreprises qui s'engagent et agissent en faveur de la transition écologique,
  • augmenter le passage à l'acte au travers des aides et accompagnements publics proposés par ce nouveau service,
  • recenser, structurer et rendre plus accessibles les dispositifs proposés par les opérateurs,
  • avoir un meilleur suivi du déploiement des aides.

La version bêta de la plateforme, construite et testée auprès d’une trentaine d’entreprises, propose aujourd’hui une orientation vers les aides et dispositifs.

À terme, améliorée par les retours d’expériences des prochains utilisateurs, la plateforme offrira aux entreprises un parcours utilisateur complet, fluide et personnalisé, qui leur permettra, en peu de temps, après avoir saisi quelques données et répondu à des questions :

  • de bénéficier d’un autodiagnostic,
  • d’être orientées vers les aides, dispositifs d’accompagnement et contacts pertinents,
  • d’être informées sur les actions essentielles à engager dans une démarche de transition environnementale selon les résultats de l’autodiagnostic.

Les ministres ont également annoncé le maintien d’un soutien de l’État en 2024 aux outils déployés conjointement par la Bpi et l’Ademe à destination des TPE et PME, que sont :

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Prime de partage de la valeur : comment en faire bénéficier vos salariés ?

Afin de soutenir le pouvoir d'achat et protéger le niveau de vie des Français, le Gouvernement a mis en place la prime de partage de la valeur. Cela consiste, pour les employeurs, à verser aux salariés une prime exonérée de cotisations et contributions sociales. Toutes les entreprises sont-elles concernées ? Comment mettre en place ce dispositif ? On vous répond.

Prime de partage de la valeur : qu'est-ce que c'est ?

La prime de partage de la valeur a été instituée par la loi n° 2022-1158 du 16 août 2022 portant mesures d'urgence pour la protection du pouvoir d'achat.

Elle permet aux employeurs de verser à leurs salariés une prime exonérée de toutes cotisations sociales à la charge du salarié et à leur propre charge, ainsi que des autres taxes, contributions et participations dues sur le salaire.

Ce dispositif est facultatif.

Notez que les exonérations s'appliquent sous conditions (voir le détail dans la suite de cet article).

Quelles entreprises peuvent verser la prime de partage de la valeur ?

Le versement d’une prime de partage de la valeur peut être effectué quel que soit l'effectif salarié de l’entreprise. Plus spécifiquement, elle peut être versée par les employeurs suivants (article L3311-1 du code du travail) :

  • tous les employeurs de droit privé, y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales), les mutuelles, les associations ou les fondations, les syndicats,
  • les établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC),
  • les établissements publics administratifs (EPA) lorsqu’ils emploient du personnel de droit privé (par exemple : les agences régionales de santé).

Quels salariés sont éligibles à cette prime ?

La prime de partage de la valeur peut bénéficier aux salariés liés à l'entreprise par un contrat de travail, aux intérimaires mis à disposition de l'entreprise utilisatrice, aux agents publics relevant d'un établissement public et aux travailleurs en situation de handicap liés à un Esat par un contrat de soutien et d'aide par le travail, soit :

  • à la date de versement de la prime,
  • à la date de dépôt de l'accord,
  • ou à la date de la signature de la décision unilatérale précisant les modalités de versement de la prime.

Le montant de la prime peut varier selon les bénéficiaires en fonction de la rémunération, du niveau de classification, de l'ancienneté dans l'entreprise, de la durée de présence effective pendant l'année écoulée ou de la durée de travail prévue au contrat de travail.

Quels sont les plafonds d'exonération de la prime ?

Comme le précise la loi, le montant maximum d‘exonération est de 3 000 euros par bénéficiaire et par année civile.

Ce montant maximal peut être porté à 6 000 euros par an et par bénéficiaire, à condition que l'employeur mette en œuvre :

  • un dispositif d’intéressement alors même qu’il est déjà soumis à l’obligation de mise en place de la participation,
  • un dispositif d’intéressement ou de participation alors même qu’il n'est pas soumis à l’obligation de mise en place de la participation.

Ces dispositifs doivent être mis en œuvre à la date de versement de la prime ou être conclus au titre du même exercice que celui du versement de la prime.

Notez que lesstructures suivantes ne sont pas soumises au respect des conditions citées ci-dessus : 

  • les associations et fondations pouvant percevoir des dons ouvrant droit à des réductions d'impôt (celles mentionnées aux a et b du 1 des articles 200 et 238 bis du code général des impôts)
  • les Esat au titre des primes versées aux travailleurs en situation de handicap.
  • L’intéressement permet d’associer financièrement les salariés aux résultats ou à la performance de l’entreprise. C'est un dispositif collectif facultatif qui peut être mis en place par toutes les entreprises.

 

Comment fonctionne l'exonération de la prime ?

L'étendue de l’exonération de cotisations et contributions, applicable dans la limite de 3 000 euros ou 6 000 euros par bénéficiaire et par année civile, est conditionnée selon la date de versement de la prime et le montant de rémunération du salarié.

Prime versée entre le 1er juillet 2022 et le 31 décembre 2023

Sur cette période, la prime versée aux salariés ayant perçu, au cours des douze mois précédant son versement, une rémunération inférieure à trois fois la valeur annuelle du Smic correspondant à la durée de travail prévue au contrat, est exonérée de toutes les cotisations et contributions sociales patronales et salariales, dont la CSG et la CRDS.

La prime est également exonérée d'impôt sur le revenu.

Prime versée entre le 1er janvier 2024 et le 31 décembre 2026

Sur cette période, la ou les primes de partage de la valeur versées par une entreprise employant moins de cinquante salariés à des salariés ayant perçu, au cours des douze mois précédant leur versement, une rémunération inférieure à trois fois la valeur annuelle du Smic, sont également exonérées d'impôt sur le revenu ainsi que des cotisations et contributions sociales patronales et salariales.

Comment mettre en place la prime de partage de la valeur dans l'entreprise ?

La mise en place de la prime, son montant et les éventuelles conditions de modulation du niveau de la prime selon les bénéficiaires, doivent faire l’objet d’un accord d’entreprise ou de groupe conclu selon l'une des modalités suivantes :

  • par convention ou accord collectif,
  • par accord entre l'employeur et les représentants d'organisations syndicales au sein de l'entreprise,
  • par accord conclu au sein du comité social et économique (CSE),
  • par ratification, à la majorité des deux tiers du personnel, d'un projet d'accord proposé par l'employeur.

La prime peut également être mise en place par décision unilatérale de l’employeur, qui consulte au préalable le comité social et économique.

Comment la prime est-elle versée ?

Deux primes de partage de la valeur peuvent être attribuées au titre d’une même année civile.

Le versement de la prime ou des deux primes peut être réalisé en une ou plusieurs fois, dans la limite d'une fois par trimestre, au cours de l'année civile.

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C. Laigneau

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TPE/PME : les aides pour faire face à la hausse des prix de l’énergie

Votre entreprise est une TPE ou une PME ? Vous pouvez bénéficier d’aides pour faire face à la hausse de vos dépenses de gaz et d’électricité. Retrouvez toutes les informations pratiques pour le paiement de vos factures d’énergie.

Quelles sont les aides pour vos factures 2022 ?

TPE, vous avez le droit au bouclier tarifaire

Bouclier tarifaire : de quoi s’agit-il ?

Le bouclier tarifaire est un dispositif qui permet de contenir à 4 % la hausse des prix de l’électricité en 2022.

Bouclier tarifaire : votre entreprise est-elle éligible ?

Pour bénéficier du bouclier tarifaire sur vos factures d’énergie en 2022, votre entreprise doit avoir :

  • Moins de 10 salariés.
  • Un chiffre d’affaires inférieur à deux millions d’euros.
  • Un compteur électrique d’une puissance inférieure à 36 kVA.

Bouclier tarifaire : comment pouvez-vous obtenir cette aide ?

Pour en bénéficier, vous devez vous rapprocher de votre fournisseur d’énergie.

TPE/PME : demandez le guichet d’aide au paiement des factures de gaz et d’électricité pour vos factures 2022

Guichet d’aide au paiement des factures de gaz et d’électricité : de quoi s’agit-il ?

Il s’agit d’une aide dont l’objectif est de pallier les effets de la crise énergétique, de soutenir la compétitivité des entreprises et d’éviter les arrêts de production des sites les plus consommateurs de gaz et d’électricité, notamment ceux assurant des productions essentielles.

Créé en 2022, le guichet d’aide au paiement des factures d’électricité et de gaz est prolongé jusqu’à fin 2023.

Guichet d’aide : votre entreprise est-elle éligible ?

Toutes les entreprises peuvent bénéficier de l’aide au paiement des factures d’électricité et de gaz jusqu’à 4 millions d’euros. Cette aide est accessible sur le site impots.gouv.fr.

Pour bénéficier de cette aide, votre entreprise doit respecter plusieurs critères :

  • Le prix de l’énergie pendant la période pour laquelle vous demandez cette aide doit avoir augmenté de 50 % par rapport au prix moyen payé en 2021.
  • Vos dépenses d’énergie pendant la période de demande d’aide doivent représenter plus de 3 % de votre chiffre d’affaires en 2021. Par exemple, si vous demandez une aide pour la période septembre/octobre 2022, vos dépenses d’énergie sur cette période doivent représenter plus de 3 % de votre chiffre d’affaires de septembre/octobre 2021.

Guichet d’aide : quand pouvez-vous demander l'aide ?

  • pour l'électricité et le gaz naturel, au titre des mois de mars, avril et mai 2022, la demande est à déposer entre le 4 juillet 2022 et le 31 décembre 2022
  • pour l'électricité et le gaz naturel, au titre des mois de juin, juillet et août 2022, la demande est à déposer entre le 3 octobre 2022 et le 31 décembre 2022
  • pour les énergies, au titre des mois de septembre et octobre 2022, la demande est à déposer entre le 15 novembre 2022 et le 28 février 2023
  • pour les énergies, au titre des mois de novembre et décembre 2022, la demande est à déposer entre le 16 janvier 2023 et le 31 mars 2023.

Guichet d’aide : comment pouvez-vous l’obtenir ?

Pour demander cette aide, vous devez remplir un dossier simplifié comprenant :

  • vos factures d’énergie pour la période concernée et vos de factures 2021
  • les coordonnées bancaires de votre entreprise (RIB)
  • le fichier de calcul de l’aide mis à votre disposition sur le site des impôts
  • une déclaration sur l'honneur attestant que votre entreprise remplit les conditions et l'exactitude des informations déclarées.

 

Guichet d’aide : vous pouvez être accompagné

Le site impot.gouv.fr propose un ensemble de services (foire aux questions, simulateur de calcul des aides, pas à pas, modèles de documents, etc.) qui vous permettent de vous informer sur le dispositif et de trouver des renseignements précis en fonction de votre situation.

Un numéro de téléphone est mis à votre disposition afin de répondre à toutes les questions d’ordre général sur le dispositif d'aide Gaz et Électricité ou relatives aux modalités pratiques de dépôt d'une demande d'aide : 0806 000 245 (service gratuit + prix de l’appel).

Pour des questions plus spécifiques, la DGFiP vous propose via la messagerie sécurisée de votre espace professionnel de sélectionner « je pose une autre question / j’ai une autre demande ». Ce message devra débuter par « Aide Gaz Électricité » pour en permettre un traitement rapide.

Quelles sont les aides pour vos factures 2023 ?

TPE, vous avez le droit à un prix de l'électricité limité à 280 € / MWh

Le 6 janvier, Bruno Le Maire a annoncé que les fournisseurs avaient accepté de garantir à toutes les TPE qu'elles ne paieraient pas plus de 280 €/ MWh en moyenne d'électricité en 2023.

Quelles sont les entreprises éligibles ?

Cette aide est accessible à toutes les TPE  ayant renouvelé ou souscrit leur contrat au cours de l'année 2022.

Comment bénéficier de cette mesure ?

Pour bénéficier de ce tarif vous devez remplir une attestation indiquant que vous souhaitez une renégociation de votre contrat d'électricité.

Ce formulaire devra ensuite être renvoyé à votre fournisseur d'électricité.

Téléchargez l'attestation à transmettre à votre fournisseur [PDF – 420 Ko]

À partir de quand cette mesure est-elle applicable ?

Ce tarif garanti, est applicable dès la facture de janvier 2023.

TPE, vous avez le droit au bouclier tarifaire

Bouclier tarifaire : de quoi s’agit-il ?

Le bouclier tarifaire est un dispositif qui permet de contenir la hausse des prix de l’électricité à 15 % à partir du 1er février 2023. Ce plafond permet d’éviter une augmentation de 120 % des factures d’énergie des entreprises.

Bouclier tarifaire : votre entreprise est-elle éligible ?

Pour bénéficier du bouclier tarifaire sur vos factures d’énergie en 2023, votre entreprise doit avoir :

  • Moins de 10 salariés.
  • Un de chiffre d’affaires inférieur à deux  millions d’euros.
  • Un compteur électrique d’une puissance inférieure à 36 kVA.

Bouclier tarifaire : comment pouvez-vous obtenir cette aide ?

Pour en bénéficier, vous devez vous rapprocher de votre fournisseur d’énergie et lui transmettre une attestation sur l’honneur d’éligibilité.

Téléchargez l’attestation sur l’honneur à transmettre à votre fournisseur [PDF – 420 Ko]

TPE et PME : bénéficiez de l’amortisseur électricité

Amortisseur électricité : de quoi s’agit-il ?

L’amortisseur électricité est entré en vigueur le 1er janvier 2023. Il permet de vous protéger, si votre entreprise a signé des contrats d’énergie plus élevés, avec un plafond d’aide unitaire renforcé. Ce plafond est défini par un indicateur présent sur vos factures et devis appliqués par les fournisseurs d’énergie.

Si vous avez un un prix unitaire de la part énergie de 350 euros/MWh (0,35 euros/kWh), l’amortisseur électricité permet de prendre en charge environ 20 % de votre facture totale d’électricité.

Amortisseur électricité : votre entreprise est-elle éligible ?

Votre entreprise est éligible selon certaines conditions :

  • si vous êtes une TPE ou d’une PME de moins de 250 salariés
  • si votre entreprise n’est pas éligible au bouclier tarifaire
  • et si votre compteur électrique est à une puissance supérieure à 36 kVA.

Amortisseur électricité : comment pouvez-vous obtenir cette aide ?

L'unique démarche à faire pour que votre entreprise bénéficie de cette aide, est de compléter et transmettre à votre fournisseur d'électricité, une attestation d'éligibilité au dispositif.

Téléchargez l’attestation sur l’honneur à transmettre à votre fournisseur [PDF – 420 Ko]

L’aide est ensuite intégrée directement dans votre facture d’électricité.

L'amortisseur électricité doit rester en vigueur pour un an jusqu’au 31 décembre 2023.

TPE/PME : demandez le guichet d’aide au paiement des factures de gaz et d’électricité pour vos factures 2023

Guichet d’aide : de quoi s’agit-il ?

Il s’agit d’une aide dont l’objectif est de pallier les effets de la crise énergétique, de soutenir la compétitivité des entreprises et d’éviter les arrêts de production des sites les plus consommateurs de gaz et d’électricité, notamment ceux assurant des productions essentielles.

Guichet d’aide : votre entreprise est-elle éligible ?

Depuis le 1er janvier 2023, si votre entreprise est une TPE ou une PME éligible au dispositif de l’amortisseur électricité et qui remplirait toujours, après prise en compte du bénéfice de l’amortisseur électricité, les critères d’éligibilité au guichet d’aide au paiement des factures d’électricité et de gaz, vous pouvez déposer une demande d’aide.

Votre entreprise est éligible à ce guichet si :

  • les dépenses d’énergie représentent 3 % du chiffre d’affaires de votre entreprise, de la période correspondante en 2021, avant prise en compte de l’amortisseur. Par exemple, si votre entreprise demande une aide pour la période janvier/février 2021, ses dépenses d’énergie sur cette période doivent représenter plus de 3 % de son chiffre d’affaires de janvier/février 2021.
  • votre facture d’électricité, après réduction perçue via l’amortisseur électricité, doit avoir connu une hausse de plus de 50 % par rapport au prix moyen payé en 2021. Il est possible de cumuler ces deux aides, amortisseur électricité et guichet d’aide au paiement.

De nouveaux bénéficiaires :

  • le guichet d’aide est également ouvert à votre entreprise si celle-ci a subi des évènements de nature exceptionnelle en 2021, celle-ci ne pouvant jusqu’ici pas bénéficier de l’aide en raison de la faiblesse ou de l’absence de consommations énergétiques en 2021.
  • l’aide est aussi étendue aux personnes morales de droit public exerçant une activité économique et dont les ressources publiques sont inférieures à 50 % des recettes totales, ainsi qu’à celles employant moins de 250 salariés et ayant moins de 50 millions d’euros de recettes annuelles.

Guichet d’aide : quand pouvez-vous demander l’aide ?

  • pour l'électricité et le gaz naturel, au titre des mois de mars, avril et mai 2022, la demande est à déposer entre le 4 juillet 2022 et le 31 décembre 2022
  • pour l'électricité et le gaz naturel, au titre des mois de juin, juillet et août 2022, la demande est à déposer entre le 3 octobre 2022 et le 31 décembre 2022
  • pour les énergies, au titre des mois de septembre et octobre 2022, la demande est à déposer entre le 15 novembre 2022 et le 28 février 2023
  • pour les énergies, au titre des mois de novembre et décembre 2022, la demande est à déposer entre le 16 janvier 2023 et le 31 mars 2023
  • pour les énergies, au titre des mois de janvier et février 2023, la demande est à déposer entre le 20 mars 2023 et le 30 juin 2023
  • pour les énergies, au titre des mois de mars et d'avril 2023, la demande est à déposer entre le 17 mai 2023 et le 31 août 2023
  • pour les énergies, au titre des mois de mai et juin 2023, la demande est à déposer entre le 17 juillet 2023 et le 31 octobre 2023
  • pour les énergies, au titre des mois de juillet et août 2023, la demande est à déposer entre le 18 septembre 2023 et le 31 décembre 2023
  • pour les énergies, au titre des mois de septembre et octobre 2023, la demande est à déposer entre le 20 novembre 2023 et le 29 février 2024
  • pour les énergies, au titre des mois de novembre et décembre 2023, la demande est à déposer entre le 17 janvier 2024 et le 30 avril 2024.

Par ailleurs, pour les régularisations des dépenses des énergies au titre des mois de mars à décembre 2022, et pour la chaleur ou le froid produits à partir de gaz naturel ou d'électricité au titre des mois de mars à août 2022, la demande est à déposer entre le 16 janvier 2023 et le 31 décembre 2023.

Guichet d’aide : comment pouvez-vous l’obtenir ?

Pour demander cette aide, vous devez remplir un dossier simplifié comprenant :

  • vos factures d’énergie pour la période concernée et vos de factures 2021
  • les coordonnées bancaires de votre entreprise (RIB)
  • le fichier de calcul de l’aide mis à votre disposition sur le site des impôts
  • une déclaration sur l'honneur attestant que votre entreprise remplit les conditions et l'exactitude des informations déclarées.

 

Guichet d’aide : vous pouvez être accompagné

Le site impot.gouv.fr propose un ensemble de services (foire aux questions, simulateur de calcul des aides, pas à pas, modèles de documents, etc.) qui vous permettent de vous informer sur le dispositif et de trouver des renseignements précis en fonction de votre situation.

Un numéro de téléphone est mis à votre disposition afin de répondre à toutes les questions d’ordre général sur le dispositif d'aide Gaz et Électricité ou relatives aux modalités pratiques de dépôt d'une demande d'aide : 0806 000 245 (service gratuit + prix de l’appel).

Pour des questions plus spécifiques, la DGFiP vous propose via la messagerie sécurisée de votre espace professionnel de sélectionner « je pose une autre question / j’ai une autre demande ». Ce message devra débuter par « Aide Gaz Électricité » pour en permettre un traitement rapide.

TPE/PME : demandez l'étalement de vos factures d'énergie

Les fournisseurs d’énergie ont accepté de proposer des facilités de paiement aux TPE et PME qui auraient des difficultés de trésorerie. Les énergéticiens peuvent proposer un étalement des factures liées aux premiers mois de l'année sur plusieurs mois.

Cette mesure est pour le moment possible jusqu’à l’été.

Pour en bénéficier, votre entreprise doit se rapprocher de son fournisseur d’énergie.

TPE/PME : demandez le report du paiement de vos impôts et cotisations sociales

Suite aux annonces de la Première ministre, Elisabeth Borne, le 4 janvier, il a été a indiqué que les TPE et PME pourraient demander le report du paiement de leurs impôts et cotisations sociales pour soulager leur trésorerie. Cette mesure ponctuelle est envisageable à la demande des entreprises.

Ces reports ne s'appliquent pas à la TVA, aux taxes annexes et au reversement de prélèvement à la source.

Concernant les cotisations sociales, vous pouvez demander un délai de paiement à l'Urssaf. Celle-ci peut porter sur les cotisations courantes et sur un rééchelonnement du plan d'apurement Covid en cours.

TPE/PME : bénéficiez de cautionnements partiellement garantis par l’État pour vos contrats de fourniture d’énergie

Cautionnement des contrats de fourniture d’énergie : de quoi s’agit-il ?

Un fonds de garantie publique est mis en place depuis le 1er mars 2023. Si votre entreprise est fortement consommatrice de gaz ou d’électricité, ce fonds vous permet de demander à des banques, des entreprises d’assurance ou des sociétés de financement de bénéficier de cautionnements partiellement garantis par l’État pour votre contrat de fourniture d’énergie.

Ce cautionnement intervient en remplacement des collatéraux demandés par les fournisseurs d’énergie lors de la signature ou du renouvellement de contrats de fourniture d’électricité et de gaz.

Les entreprises bénéficiant de ce cautionnement garanti par le fonds public ne pourront plus faire l’objet de demande de collatéral complémentaire par leur fournisseur d’électricité ou de gaz.

Cautionnement des contrats de fourniture d’énergie : votre entreprise est-elle éligible ?

Aucune condition sur la taille de votre entreprise ou son chiffre d’affaires n’est prévue pour accéder au dispositif.

Pour être éligible, votre entreprise doit bénéficier d’une garantie remplissant les conditions suivantes :

  • Elle doit être souscrite à la demande d’un fournisseur dans le cadre d’un contrat de fourniture d’électricité ou de gaz conclu après le 31 août 2022 et dont le terme peut être ultérieur à 2023, mais ne devant pas excéder le 31 décembre 2024. Elle doit nécessairement porter en tout ou partie sur l’année 2023
  • Elle doit être limitée à un montant inférieur ou égal aux sommes dues au titre de trois mois de fourniture de gaz ou d’électricité, définies par le contrat de fourniture de gaz ou d’électricité
  • Elle doit être souscrite auprès d’une banque, d’un assureur ou d’une société de financement ayant signé une convention de mise en œuvre avec la Caisse centrale de réassurance, en charge du déploiement de ce dispositif pour le compte de l’État
  • Votre entreprise doit être immatriculée en France
  • Votre contrat d’énergie doit représenter un volume supérieur à 1 GWh par an pour l’électricité ou 2 GWh par an pour le gaz.

Cautionnement des contrats de fourniture d’énergie : comment pouvez-vous l’obtenir ?

Pour bénéficier de cette aide votre entreprise doit solliciter une banque, une société de financement ou une entreprise d’assurance ayant signé une convention avec le fonds de garantie, géré par la Caisse centrale de réassurance (CCR) pour le compte de l’État.

Consultez la FAQ sur le fonds de garantie pour les contrats d’électricité et de gaz [PDF - 948 Ko]

Quelles sont les aides pour vos factures 2024 ?

TPE, vous avez le droit à un prix de l'électricité limité à 280 € / MWh

Le 30 novembre 2023, Bruno Le Maire a annoncé que le dispositif de plafond de prix à 280€/MWh serait prolongé en 2024.

Il sera étendu y compris aux petits consommateurs professionnels ayant une puissance souscrite inférieure à 36 kVA.

Quelles sont les entreprises éligibles ?

Cette aide est accessible à toutes les TPE ayant renouvelé ou souscrit leur contrat avant le 30 juin 2023.

Comment bénéficier de cette mesure ?

Vous n’aurez aucune démarche à faire pour bénéficier du plafond prix en 2024 si vous avez déjà bénéficié de cette aide en 2023. L’aide sera appliquée automatiquement par votre fournisseur. En cas de changement de situation, vous devez le signaler aux fournisseurs.

Si votre entreprise est éligible et n’a pas bénéficié de ce dispositif en 2023, une attestation d’éligibilité devra être envoyée au fournisseur d’électricité.

Téléchargez l'attestation à transmettre à votre fournisseur [PDF – 420 Ko]

À partir de quand cette mesure est-elle applicable ?

Ce tarif garanti, est applicable dès la facture de janvier 2024.

TPE et PME : bénéficiez de l’amortisseur électricité

Amortisseur électricité : de quoi s’agit-il ?

L’amortisseur électricité est entré en vigueur le 1er janvier 2023. Le 30 novembre 2023 le Gouvernement a annoncé sa prorogation pour 2024. Il permet de vous protéger, si votre entreprise a signé des contrats d’énergie plus élevés, avec un plafond d’aide unitaire renforcé. Ce plafond est défini par un indicateur présent sur vos factures et devis appliqués par les fournisseurs d’énergie.

Si vous avez un prix unitaire de la part énergie de 350 euros/MWh (0,35 euros/kWh), l’amortisseur électricité permet de prendre en charge environ 20 % de votre facture totale d’électricité.

Amortisseur électricité : votre entreprise est-elle éligible ?

Votre entreprise est éligible selon certaines conditions :

  • si vous êtes une TPE ou d’une PME de moins de 250 salariés
  • si votre entreprise n’est pas éligible à la garantie 280 €/MWh
  • si vous avez signé un contrat avant le 30 juin 2023 et qu’il est encore en vigueur en 2024
  • et si votre compteur électrique est à une puissance supérieure à 36 kVA.

Vérifiez votre éligibilité à l'aide gaz et électricité à l'aide du simulateur d'aide mis en place sur le site impots.gouv.fr.

Amortisseur électricité : comment pouvez-vous obtenir cette aide ?

Vous n’aurez aucune démarche à faire pour bénéficier de l’amortisseur en 2024 s’ils vous déjà bénéficié de cette aide en 2023. L’aide sera appliquée automatiquement par votre fournisseur. En cas de changement de situation, vous devez le signaler aux fournisseurs.

Si votre entreprise est éligible et n’a pas bénéficié de ce dispositif en 2023, une attestation d’éligibilité devra être envoyée au fournisseur d’électricité.

Téléchargez l’attestation sur l’honneur à transmettre à votre fournisseur [PDF – 420 Ko]

L’aide est ensuite intégrée directement dans votre facture d’électricité.

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C. Laigneau

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09 décembre 2023

Sécurité routière : le préfet en appelle à la responsabilité de tous face à l'aggravation du bilan en novembre

Mis à jour le 08/12/2023
Le bilan de la sécurité routière de l’Orne s’est fortement dégradé au cours du mois de novembre. Les routes du département ont été le théâtre d’une véritable hécatombe, avec cinq décès à déplorer en moins de trois semaines, entre le 10 novembre et le 29 novembre 2023 :
  • un choc frontal entre deux véhicules légers sur la RD 928 entre SABLONS SUR HUISNE et COULONGE LES SABLONS le 10 novembre, 2 morts
  • un véhicule accidenté seul en cause qui a percuté un arbre sur la RD 438 à CHAILLOUE le 26 novembre, 1 mort ;
  • le décès de Jean-Louis Renault, maire de SAINT JEAN DES BOIS, percuté par un véhicule de secours le 27 novembre ;
  • le décès d’un piéton sur la RD 958 à Argentan, percuté le 29 novembre en pleine nuit par un véhicule léger.

Depuis le mois de janvier, ce sont 21 personnes qui ont été tuées et 267 personnes blessées dans les 213 accidents qui ont eu lieu sur les routes du département. Ce chiffre est en augmentation par rapport aux deux années précédentes.

La plupart de ces accidents résultent de comportements inadaptés. Plus de la moitié sont imputables à des conduites à risque (alcool, stupéfiants, vitesse), à des refus de priorité ou à l’inattention du conducteur. Loin de reculer, une augmentation de ces comportements est au contraire constatée dans le département :

  • L’usage du téléphone au volant connaît une hausse marquée (+8 % d’infractions constatées en zone gendarmerie et 22 % en zone police).
  • Les infractions liées à la vitesse augmentent fortement (+11 % d’infractions constatées en zone gendarmerie et 18 % en zone police).
  • Le nombre de suspensions administratives du permis de conduire est en conséquence également en hausse : 1166 permis ont été suspendus depuis le début de l’année, dont la moitié pour conduite sous stupéfiants

Le relâchement des comportements est également patent dans les contrôles opérés par les 14 motards de la CRS autoroutière entre le 20 novembre et le 29 novembre dans l’Orne : sur 888 véhicules contrôlés à Alençon, Flers et Argentan, les policiers de l’unité CRS ont relevé 444 infractions, dont 34 délits routiers.

Devant cette « hécatombe » sur les routes de l’Orne en novembre, mois le plus dramatique depuis plusieurs années, le préfet de l’Orne exprime son soutien aux victimes et à leurs proches, et en appelle à la responsabili de tous face au relâchement constaté des comportements au volant.

Les services de l’État vont accroître les actions de prévention et de contrôle. Les forces de sécurité, police et gendarmerie, renforceront leur présence et accroîtront le niveau de sanction à l’encontre des mauvais comportements. Les renforts zonaux seront à nouveau sollicités pour appuyer l’action locale.

D’autre part, en ce début de période hivernale, le préfet de l’Orne appelle l’ensemble des usagers de la route à la plus grande prudence. La conduite hivernale nécessite une vigilance de tous les instants.À cette période de l’année, une attention particulière doit être apportée :

  • à la visibilité sur la chaussée notamment pour les piétons, les cyclistes et les motards (vêtements retro-réfléchissants, éclairages). Ces usagers, les plus fragiles, représentent la moitié des victimes décédées sur les routes du département en 2023.
  • à l’adaptation aux conditions de circulation. Les routes verglacées, la pluie et la nuit impliquent de réduire la vitesse.
  • au respect des pauses régulières, toutes les deux heures, lors des trajets longs. La fatigue et la somnolence allongent considérablement le temps de réaction face au danger.

Le préfet de l’Orne souligne l’engagement et remercie les services de sécurité et de secours mobilisés quotidiennement pour la sécurité des mobilités et des usagers.

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2024 : une année bien remplie…

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Déjà entré en 2024 avec le vote du budget primitif, le Conseil départemental s’est projeté sur les principaux temps forts de l’année prochaine, notamment les Jeux Olympiques et Paralympiques Paris 2024 et le 80e anniversaire du Débarquement et de la Libération, dont les déclinaisons ornaises seront nombreuses et variées. « Autant d’occasions de réaffirmer, jusqu’au plus profond de nos territoires ruraux, que nous sommes tous fiers d’être Ornais ! », martèle le président du Département, Christophe de Balorre.

Actualité - 08/12/2023

Certes, la Flamme olympique ne passera pas par l’Orne, le Conseil départemental ayant « renoncé à mettre 180 000 € sur la table pour une opération purement commerciale ! ». Pour autant, « cette flamme, symbole du sport pour tous et par tous, rayonnera largement pendant plusieurs semaines au cœur de notre département », confirme le président de Balorre. En tête d’affiche, naturellement, le Haras national du Pin, mais pas que… 

  • L’année 2024 sera marquée par l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques Paris 2024. « Nous aurons le plaisir d’accueillir dans l’Orne, pour la préparation des athlètes, différentes délégations étrangères, dont plusieurs d’Arabie Saoudite », confirme Christophe de Balorre. 
    • Avec son Pôle international de sports équestres, récemment inauguré, le Haras national du Pin deviendra tout naturellement le haut-lieu du concours complet, du saut d’obstacles et du dressage.
    • Á Argentan, le tout nouveau stand de tir sportif, actuellement en cours d’achèvement, va s’offrir un baptême du feu hors du commun ; la ville sera également convoitée par l’élite du tennis de table, accueillie au gymnase Michel-Pelchat.  
    • Á Alençon, tennis de table, également, à l’Étoile, et judo au Dojo Fabien Canu.
    • Au Pays de L’Aigle, le Pôle sportif intercommunal s’adaptera à plusieurs disciplines : handball, badminton et boccia.
  • L’année 2024 sera marquée par les cérémonies du 80e Anniversaire du Débarquement, de la fin de la Bataille de Normandie et de la Libération. « Nous avons souhaité que nos célébrations ornaises soient placées sous le signe de la réconciliation Franco/Allemande et de la Paix dans le Monde », dévoile le président du Département.

Le site de Montormel, où se dérouleront les commémorations départementales, accueillera également l’Appel de la Liberté, assorti d’un programme festif populaire, avec la participation de très nombreux reconstituteurs, dont plusieurs groupes étrangers.
« Je sais que, dans nos cantons, les rendez-vous seront nombreux. Bien des communes y travaillent déjà et je propose de valoriser toutes les initiatives au travers d’une programmation départementale grand public », annonce Christophe de Balorre

  • L’année 2024 sera marquée par l’organisation de la 10e édition des Elles de l’Orne. « Quel formidable mouvement populaire, assorti d’un élan de générosité hors du commun. En 10 ans, plus de 25 000 femmes s’y sont associées ; et près de 214 000 € ont permis de faire avancer la recherche contre le cancer. Nous avons, aujourd’hui, un taux de guérison à 5 ans de 85 % », rappelle le président de Balorre.
  • L’année 2024 sera marquée par la poursuite d’importants travaux dans les collèges. 
    • Á Alençon, la première pierre du nouveau collège Racine vient d’être posée ; sa mise en service est confirmée pour la rentrée de septembre 2025.
    • Á Flers, a été inauguré, fin novembre, le premier bâtiment entièrement réhabilité et agrandi, au collège Jean-Monnet, où la seconde phase de travaux est déjà bien engagée ; la fin de l’opération est programmée pour l’été 2026.
    • Á L’Aigle, la réhabilitation du collège Molière se poursuit ; le calendrier est tenu, en vue d’un achèvement pour la rentrée de septembre 2026.
    • Á Vimoutiers, le projet de reconstruction du collège Arlette Hée-Fergant avance ; l’option « géothermie », pour le chauffage et la production d’eau chaude sanitaire, est à l’étude, pour finaliser le dossier technique début 2024. Les travaux suivront, bien évidemment.
    • Á Argentan, la construction d’un préau dans la cour du collège François Truffaut va améliorer grandement l’accueil des élèves, notamment en cas de mauvaises conditions climatiques. S’agissant des travaux d’isolation de bâtiments, de remplacement de menuiseries extérieures et d’amélioration intérieure – comme la peinture et les faux plafonds avec luminaires LED – le projet technique se concrétise.
  • L’année 2024 sera marquée par la mise en œuvre du Plan climat départemental. « C’est, pour moi, l’occasion de vous remercier, individuellement, pour votre engagement. Nous devons, maintenant, continuer à travailler, collectivement, sur les politiques concrètes qui vont prendre corps ; il nous appartiendra de les décliner sur l’ensemble de notre territoire, en concertation et en proximité avec les Ornaises et les Ornais », a insisté Christophe de Balorre devant les élus départementaux.
  • L’année 2024 sera marquée par une nouvelle étape du développement du Centre départemental de santé, avec la création d’antennes sur l’ensemble du territoire et l’ouverture d’un nouveau Centre territorial, à Argentan. « Cette politique mérite d’être renforcée ; nous y travaillons ! Déjà, elle a permis à près de 5 000 Ornaises et Ornais de retrouver un médecin traitant », annonce le Président de Balorre.
  • L’année 2024 sera marquée par la 3e saison du Passeport du Civisme, officiellement lancée le 1er décembre. Déjà plus d’une centaine de jeunes ont le sésame en poche et une belle mobilisation des collégiens s’annonce pour 2024. Côté partenaires, les rangs s’étoffent, avec le Barreau d’Alençon, le groupement départemental de Gendarmerie, l’association des Cadets de la Gendarmerie et le Haras national du Pin.
    Parallèlement, et pour la 3e année également, les élus accueilleront dans l’hémicycle et à l’Hôtel du Département leurs nouveaux filleuls, représentant les 42 cantons ornais : « Cette opération de parrainage est une belle occasion de sensibiliser la jeunesse à l’engagement public et à la vie locale », relève le président.
  • L’année 2024 sera marquée par encore plus de solidarités, « soit 60 % de notre budget de fonctionnement en faveur de nos concitoyens, tous horizons ; qu’il s’agisse des jeunes, des aînés, des personnes porteuses de handicaps, des femmes et des hommes - de tous âges - privés d’emploi », confirme Christophe de Balorre.

C. Laigneau

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08 décembre 2023

Annonces paroissiales du samedi 9 au dimanche 17 décembre 2023

Chers amis, 
 
Voici ICI les annonces paroissiales de la semaine, ICI la lettre des infos diocésaines et ICI la feuille des chants de dimanche.
Notons dès maintenant l'heure des offices de Noël :

Dimanche 24 décembre

11h : Messe du 4ème dimanche de l’Avent au Mêle-sur-Sarthe

19h : Messe de la Nuit de Noël au Mêle-sur-Sarthe
 
Lundi 25 décembre
11h : Messe du Jour de Noël à Saint-Julien-sur-Sarthe
La prochaine répétition des chants de Noël est prévue jeudi prochain 14 décembre à 10h à la maison paroissiale du Mêle-sur-Sarthe : soyons nombreux !
 
Soyons aussi présents lundi matin 10h à l'église du Mêle pour réaliser la crèche.
 
Et avec Saint Jean-Baptiste, ce 2ème dimanche de l'Avent, préparons le chemin du Seigneur dans nos cœurs, nos vies, nos familles et nos paroisses !
 
"Comme un chemin à préparer"
 
Seigneur, ce temps de l’Avent,
Tu me le donnes
Comme un chemin à préparer.
Cette route est au cœur de mon cœur,
Ce lieu où je suis entièrement connue
De Toi seul, Dieu, mon créateur.
Viens me rejoindre dans mes terres arides,
Et mes déserts,
Ces moments où je me sens sec,
Alors que dans ma vie, c’est la nuit.
Aide-moi à aplanir la route pour Toi,
A combler les ravins de mes peurs
De mes échecs et de mes ruptures.
 
Donne-moi la simplicité d’un cœur d’enfant,
Pour ramener à leur juste mesure
Tout ce qui me semble montagne d’impossible.
Que ton Esprit m’aide
A rendre simple et droit
Ce que la vie a rendu tortueux et difficile,
Dans mes relations avec les autres,
Dans mon cœur et dans mon corps.
Viens Seigneur Jésus.
Viens sur notre terre
Regarde, Seigneur notre Dieu,
Ton peuple rassemblé.
Nous t’en prions, viens sur notre terre.
Accompagne-nous sur notre terre de relations,
Agis avec nous sur notre terre d’actions.
Viens habiter
Cette terre qui est la nôtre,
Cette terre de Dieu comme nous l’appelons.
Viens au cœur de nos questions,
Viens au cœur de nos interrogations.
 
Viens aujourd’hui encore bousculer nos habitudes, 
Ouvrir nos horizons, fleurir nos déserts,
Pour qu’avec Jésus, ton Fils qui nous sauve,
Nous apportions nous aussi
Le salut à nos frères les plus humbles,
Les plus pauvres.
 
Amen."
 
Prochainement les annonces paroissiales seront envoyées via Enoria. Si vous voulez continuer à les recevoir, vous êtes invités à le demander à partir du lien suivant : Inscription - Pôle de Sées
 

P. Gabriel VILLEMAIN

Curé de la Paroisse
Paroisse Saint Gilles du Mêle-sur-Sarthe
5, Avenue Résidence du Lac
61170 Coulonges-sur-Sarthe
Permanence téléphonique tous les jours entre 10H00 et 12H00 (Sauf Dimanche)
Tel.: 02 33 27 61 09
C. Laigneau

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Budget 2024 (470 M€) : priorité aux investissements d’avenir

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Temps fort de la session plénière du Conseil départemental, ce vendredi 8 décembre, le vote du budget 2024, à hauteur de 470 M€ : « Le cap est tenu, avec une feuille de route ambitieuse qui conforte notre priorité pour les investissements d’avenir », résume le président, Christophe de Balorre, qui conduisait les débats.

Actualité - 08/12/2023

Le vote du budget constitue une étape importante dans la vie du Conseil départemental. Il s’agit de définir, pour l’année à venir, les moyens qui seront mis œuvre dans le cadre des politiques départementales. L’objectif est de conforter une action concrète, au plus près des réalités du territoire, en réponse aux besoins et aux attentes des habitants, et en fonction des capacités financières de la collectivité.

Budget 2024 ©CD61
Budget 2024 ©CD61

« En 2024, notre Département pourra continuer à appuyer sa mobilisation du quotidien sur un budget engagé, déterminé et ambitieux, indispensable au développement local, au renforcement de l’attractivité et au maintien d’une certaine qualité de vie pour nos habitants, jeunes et aînés », explique le Président de Balorre.

Des équilibres préservé

C’est dans la droite ligne de la feuille de route du début de mandat, que le Conseil départemental a construit son budget 2024. « Les équilibres sont préservés et le cap est tenu ! », se réjouit le président. 

Et Christophe de Balorre d’expliquer : « Dans un contexte contraint, tant par l’inflation rampante qu’en raison du désengagement persistant de l’État, notre stratégie, responsable et volontariste, repose sur la maîtrise de nos charges courantes. Au moment où la dynamique des recettes s’essouffle considérablement, c’est le seul moyen de dégager des marges de manœuvre, d’ailleurs solidement renforcées par une dette saine et une réelle capacité d’endettement, fruit d’une gestion antérieure maîtrisée. Ainsi, nous pouvons engager de nouveaux investissements d’avenir ! »
 

« Qui commande, paye ! »

La hausse des prix, qui n’épargne aucun secteur, impacte lourdement le budget départemental 2024. Parallèlement, des mesures nationales coûteuses viennent plomber les dépenses, qu’il s’agisse des mesures sociales ou salariales. « Le pouvoir central décide seul et il nous enjoint de payer ! », déplore le président du Département. 

Chiffres à l’appui, Christophe de Balorre dénonce le désengagement de l’État sur les 3 allocations individuelles de solidarité (AIS) : revenu de solidarité active (RSA), allocation personnalisée d’autonomie (APA) et prestation de compensation du handicap (PCH). « Les sommes versées aux bénéficiaires, conformément aux dispositions nationales, ne sont compensées par l’État qu’à hauteur de 60%, soit un reste à la charge pour le Conseil départemental, en 2024, supérieur à 37 M€. En 20 ans, cela fait plus de 600 M€ de manque à gagner pour le Département ! », regrette le président. 

Et Christophe de Balorre d’appeler de ses vœux « une refonte complète et concertée des mécanismes, visant à la fois à la clarification et à la simplification, maintes fois promises mais jamais osées par l’État central ; le premier principe qui doit prévaloir est pourtant simple : qui commande, paye ! »

« Effet de ciseaux »

Autre source de tension avec l’État, les réformes fiscales successives, aux conséquences jugées « désastreuses pour le Département », dont l’évolution des recettes nationales est désormais liée à celle d’une fraction de la TVA (Taxe sur la valeur ajoutée) et de la TSAC (Taxe spéciale sur les conventions d’assurance), soit des dotations largement tributaires de la conjoncture économique… 

S’agissant de la part des produits de DMTO (Droits de mutation à titre onéreux, taxes communément appelés - à tort - « frais de notaire » lors de toute transaction immobilière), qui revient au Département, son montant se stabilise sur des bases proches de celles antérieures à la flambée de 2021-2022, soit toutefois une baisse de l’ordre de 10 M€…  

Pour ce qui est des dotations de l’État, ni bonne ni mauvaise nouvelle à attendre, depuis leur gel en 2007. Et, au final, un inexorable « effet de ciseaux » provoqué, mécaniquement, par la hausse rampante des charges obligatoires et la baisse persistante des recettes de base ! 

Le budget 2024 en chiffres...

  • 352,21 M€, c’est le budget de fonctionnement.
  • 107,45 M€, c’est le budget d’investissement.
  • 190 M€ (60 % du budget de fonctionnement), directement affectés à la mission « solidarité » (+ 3,89 M€/2023).
  • 60,5 M€ inscrits au titre des dépenses de personnel (+ 0,5 M€/2023).
  • 86 M€ au titre des programmes d’investissement, soit le 2e niveau de crédits annuels le plus important, juste derrière 2023, année exceptionnelle marquée par l’avancée significative de projets d’envergure (Plan numérique ornais, Plan collèges, Haras national du Pin, grands travaux routiers). 
    • 25,4 M€, pour la mise en œuvre accélérée du Plan collèges, dans un programme de six ans de 95 M€, après 100 M€ d’investissements à ce titre ces dix dernières années ;
      • 5,1 M€ (projet de 23 M€) : restructuration Molière (L’Aigle) ;
      • 13 M€ (projet de 33,5 M€) : construction Racine (Alençon) ;
      • 3,4 M€ (projet de 20 M€) : restructuration Monnet (Flers) ;
      • 3,9 M€ (projet de 19,5 M€) : démolition et reconstruction Hée Fergant (Vimoutiers).
    • 15,8 M€ pour les routes : travaux d’aménagement, de mise en sécurité et de renforcement du réseau de voirie départemental.
  • 130 M€, c’est l’encours de la dette, au même niveau qu’en 2023, au taux moyen de 2,35 %. Le Département tire les bénéfices d’une stratégie de recours à l’emprunt privilégiée lorsque les taux d’intérêts étaient très avantageux, ce qui permet de maintenir une politique d’investissement à un niveau élevé.
    • 10 M€, c’est le montant emprunté en 2023, au taux de 3,75% (taux à fin 2022 : 1,99 %) ; 
    • 35 M€, c’est le montant d’emprunts inscrits au budget 2024 (15 % inférieur à la prévision votée au budget 2023) ;
    • 461 €, c’est le montant de la dette par habitant, à fin 2022 ; la moyenne dans les Départements comparables à l’Orne atteint 543 €.

En bref…

Environnement et Plan climat s’invitent au budget 2024

  • Au titre des projets structurants, le Conseil départemental porte une attention renouvelée aux impacts environnementaux : rénovation énergétique des bâtiments (plan gymnases et piscines, propriétés départementales), préservation de l’eau en qualité et quantité (réparation- remplacement de réseaux fuyards, recherche et exploitation de nouvelles ressources).
  • Le volet environnemental et la transition énergétique sont au cœur du budget 2024, dont le projet de mise en œuvre s’appuie sur déclinaison des indicateurs du « budget vert ». Ces avancées sont en cohérence avec les objectifs du second plan climat départemental 2022-2028. 

C. Laigneau

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Pôle de santé Simone Iff :

Photo du Pôle de santé Simone Iff et texte : Signature de la convention du Centre Hospitalier Intercommunal Alençon-Mamers
Photo de Christophe Mazin, directeur du Centre Hospitalier Intercommunal Alençon-Mamers (CHICAM) et Joaquim PUEYO, président de la Communauté Urbaine d’Alençon signants la convention pour le pôle de Santé Simone Iff

07/12/2023

Signature de la convention du Centre Hospitalier Intercommunal Alençon-Mamers

Jeudi 7 décembre à 17 h, Christophe Mazin, directeur du Centre Hospitalier Intercommunal Alençon-Mamers (CHICAM) et Joaquim PUEYO, président de la Communauté Urbaine d’Alençon ont signé la convention pour le pôle de Santé Simone Iff.

 

 

 

 

 

LE CHICAM, ACTEUR DU PÔLE DE SANTÉ SIMONE IFF

Début 2024, le pôle de santé Simone Iff situé au 30 rue de la Poterne dans le centre-ville d’Alençon, proposera aux habitants de la CUA des consultations spécialisées assurées par des médecins du Centre Hospitalier Intercommunal Alençon-Mamers (CHICAM). Ils investiront le 1er étage, avec un accueil-secrétariat, une annexe du centre de prélèvements biologiques et deux cabinets pour des consultations de spécialités.

Depuis de nombreuses années, le CHICAM a la volonté de proposer des consultations de spécialités (médecine et chirurgie), en coordination avec la médecine de ville, afin de répondre au plus près des besoins de la population qui ne souhaite ou ne peut pas se rendre en structure hospitalière. La construction de ce pôle de santé libéral ambulatoire (PSLA) permet de répondre au projet médical de l’hôpital, axé sur le renforcement du lien ville-hôpital.

En plus des consultations de médecine générale assurées par des praticiens libéraux, les patients pourront bénéficier, dans un même lieu, de consultations de spécialités, adossées à une annexe du centre de prélèvements biologiques du CHICAM. Y seront notamment proposées des consultations de pédiatrie, de gastro-entérologie, de néphrologie, d’addictologie, ou encore de chirurgie viscérale.

 Le planning de consultations sera disponible sur le site internet du CHICAM et sur Doctolib pour les spécialités chirurgicales.

 

UNE OUVERTURE PROCHAINE

Pour favoriser l’accompagnement et l’accueil de professionnels de santé, et préserver ainsi l’accès aux soins de proximité dans le territoire, la CUA a engagé l’aménagement de trois pôles de santé libéraux ambulatoires (PSLA). Ces équipements innovants permettent de regrouper dans un même lieu des médecins généralistes et autres professionnels de santé, qui exercent de manière plus collective et coordonnée.


Le 3e PSLA, situé dans le centre-ville d’Alençon et réparti sur une superficie totale de 1 270 m², sera bientôt opérationnel et abritera au total 21 cabinets. Baptisé “pôle de santé Simone Iff”, en hommage à la militante féministe décédée en 2014, il est implanté sur le site de la Providence, dans l’ancien hôtel particulier du général Bonet entièrement réhabilité et agrandi par une extension contemporaine.

 

Le chiffre : 5,34 M€

C’est le coût de l’opération du Pôle de Santé Simone Iff subventionné par la Ville d’Alençon
(1 494 000 €), l’État (818 088 €), l’Europe (350 000 €), la Région Normandie (300 000 €) et le Département de l’Orne (100 000 €).

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